J
Je ne peins pas la nouveauté, je peins ce qui a toujours existé.
Il y a devant nous un monde solide que l’on veut solide et qui est par observation, totalement mouvant, fuyant, absorbant.
Je ne peins pas la nouveauté, je peins ce qui a toujours existé.
Il y a devant nous un monde solide que l’on veut solide et qui est par observation, totalement mouvant, fuyant, absorbant.